Présentations de l'événement en français

Événement avec partenaires

L’eau est considérée comme une ressource précieuse et développée sous forme d’infrastructure bleue. L’eau de pluie est retenue et emmagasinée sur place. Ainsi, il est possible d’irriguer des arbres et des surfaces vertes, qui vont de leur côté évaporer l’eau et, ce faisant, rafraîchir l’air ambiant.

Dans la ville éponge, l’eau de pluie s’évapore ou s’infiltre dans les sols, si possible sur place. En cas de précipitations intenses, l’eau est retenue ou dirigée de manière ciblée. Pour cela, des espaces non bâtis peuvent être utilisés comme zone d’inondation temporaire ou aménagés comme ouvrages de dérivation des eaux de pluie. En période de sécheresse, le stockage de l’eau permet d’irriguer la végétation, et le potentiel des toitures est également exploité ici. Il en découle de nouveaux défis pour la conception des espaces ouverts urbains, mais également de nouvelles opportunités et possibilités de synergies. Cette manifestation sera l’occasion d’expliquer les principes et les concepts, ainsi que de présenter quelques projets concrets.

Intervenantes et intervenants
Friederike Meinhardt, Fédération Suisse des Architectes Paysagistes (FSAP)
Sylvia Oppliger, Association suisse des professionnels de la protection des eaux (VSA)
Frieder Kaiser, service des parcs de la Ville de Bâle
Florian Seibold, atelier ORT - AG für Landschaftsarchitektur

Présentations de l'événement en français

En Suisse, des tremblements de terre de forte ampleur peuvent survenir n’importe où et en tout temps. Il faut s’attendre à ce qu’un séisme d’une magnitude d’environ 6 se produise tous les 50 à 150 ans. Même sur les bâtiments parasismiques, les événements d’une telle force peuvent causer des dégâts considérables.

D’un point de vue statistique, chaque personne résidant en Suisse est au moins une fois dans sa vie témoin d’un tremblement de terre qui entraîne de graves dommages. En conséquence, les séismes font partie des risques majeurs en Suisse, au même titre que les pandémies et que les pénuries d’électricité. En comparaison avec d’autres dangers naturels, ils sont plus rares, mais causent d’énormes dégâts. Au moyen de cette manifestation, Protection contre les dangers naturels offre à des experts de la Confédération et de l’Organisation dommages sismiques une plate-forme pour discuter de risques sismiques ainsi que de questions concrètes liées à l’organisation de la reconstruction et de son financement, ceci sous le regard critique des acteurs du secteur de la construction.

Animation
Bruno Spicher, Risk Agent GmbH

Intervenantes et intervenants
Prof. Stefan Wiemer, Service sismologique suisse de l’EPF de Zurich
Blaise Duvernay, Office fédéral de l’environnement OFEV
Thomas Kühni, Organisation dommages sismiques ODS
David Gerber, Secrétariat d’État aux questions financières internationales SFI

Événement avec partenaires

Dans les projets de construction durable, comment tenir compte des thématiques liées au micro-climat et à l’eau ? Venez vous informer sur toutes les nouveautés concernant le standard SNBS‑Bâtiment ainsi que le nouveau standard SNBS‑Quartier, et découvrez à l’aide d’un exemple pratique comment ces thèmes peuvent être mis en œuvre avec succès.

Dans le contexte du changement climatique, les aspects du micro-climat et de l’eau prennent une place de plus en plus importante. Ces notions jouent également un rôle central dans le cadre des standards SNBS‑Bâtiment et SNBS‑Quartier. Notre manifestation démarrera avec une présentation générale du nouveau standard SNBS‑Quartier ainsi que des nouveautés concernant le standard SNBS‑Bâtiment. Ensuite, nous mettrons l’accent sur l’eau et sur le micro-climat, ainsi que sur le rôle que ces deux notions jouent au sein des deux standards. Un troisième exposé présentera le projet «Uptown», qui montre une mise en œuvre réussie dans la pratique. Cet événement vous offrira également l’occasion de poser vos questions aux expertes et aux experts.

Intervenantes et intervenants
Christian Stünzi, Office de certification SNBS
Sandrine Richner, Fankhauser Arealentwicklungen AG
Simon Matter, Hunziker Betatech AG

Présentations de l'événement en français

Outre l’épicéa et le sapin, qui sont souvent utilisés, les forêts suisses abritent des espèces qui se prêtent particulièrement bien aux ouvrages de protection en raison de leur longévité naturelle. Les ouvrages de protection en bois se distinguent par leur durabilité, notamment en cas d’utilisation de ressources locales.

La publication Lignatec « Ouvrages de protection en bois » est un document de référence qui informe sur des ouvrages de protection existants construits en bois en les présentant de manière synthétique. Elle décrit de manière détaillée l’utilisation du bois dans les ouvrages de protection contre l’érosion et les glissements de terrain, dans l’aménagement de torrents et dans la protection contre les avalanches, et elle présente des constructions éprouvées ainsi que leur fonctionnement.

L’utilisation d’ouvrages en bois présente des avantages, mais montre aussi des limites. Quand le bois est-il le matériau le mieux indiqué pour les ouvrages de protection ? Quel est le degré de pertinence des ouvrages de protection en bois du point de vue de la protection des bâtiments ? Préparez-vous à découvrir des informations passionnantes sur le sujet.

Animation
Nicole Glaus, climatologue et météorologue

Intervenantes et intervenants
Walter Krättli, Centre pour le génie forestier
Jürgen Suda, ALP-infra Consulting + Engineering GmbH
Corinne Singeisen, Association des établissements cantonaux d’assurance AECA
Florian Seibold, atelier ORT - AG für Landschaftsarchitektur

Partenaire
Lignum

Présentation de l'événement en français

Chaque année, les phénomènes naturels provoquent des dégâts aux bâtiments qui se chiffrent en centaines de millions de francs. Plus d’un tiers de ces dommages est imputable à la grêle. Étant donné que la grêle peut tomber partout en Suisse et toucher toute l’enveloppe du bâtiment, il est particulièrement important de bien choisir les éléments de construction.

En raison du changement climatique, les événements météorologiques violents et, par conséquent, les dommages causés par la grêle aux bâtiments se multiplient. Il est alors d’autant plus important de construire des bâtiments qui résistent à la grêle. La norme SIA 261/1 définit des exigences concrètes en matière de protection des bâtiments contre la grêle. Mais quels sont les produits qui conviennent à d’importantes chutes de grêle ? Les installations photovoltaïques sont-elles particulièrement en danger ? Comment peut-on tester la résistance à la grêle des éléments de construction ? Un panel de représentants de la fabrication de produits, de l’industrie solaire, des instituts d’essai et de l’assurance bâtiment abordera ces sujets et d’autres encore concernant la protection des bâtiments et les dommages provoqués par la grêle.

Animation
Nicole Glaus, climatologue et météorologue

Intervenantes et intervenants
Markus Dürr, Montana Systèmes de Construction SA
David Stickelberger, Swissolar
Ruedi Räss, p+f expert AG
Martin Jordi, Association des établissements cantonaux d’assurance AECA

Partenaire
Société suisse des ingénieurs et des architectes SIA